Lionel Maine est récoltant manipulant, le vignoble se situe en Champagne, dans le village d’Ambonnay. Ce terroir porte l’appellation d’excellence Grand Cru (que seules dix-sept communes ont l’honneur de porter) et tient sa réputation par son expression unique du Pinot Noir, s’alliant plaisamment au Chardonnay, cépage blanc de la Champagne. La famille Maine développe aujourd’hui ce savoir-faire en tenant compte des évolutions technologiques et en veillant à préserver l’harmonie de la Nature. Lionel Maine produit actuellement 12 000 bouteilles chaque année et détient un hectare et demi de vignes.
Le grand-père maternel de la maison Charles Hubert champagnisait déjà sa production avant la guerre de 1939. Il dégorgeait à la volée dans son cellier et mettait à disposition ses cuvées à une petite clientèle de proximité. Son fils vendit les premières bouteilles du "Champagne Charles Hubert" en 1984. Après avoir terminé ces études d'œnologie et de viticulture, c'est tout naturellement que son petit-fils lui succédait sur l'exploitation en 2009, après être passé par un cabinet d'œnologie conseil puis par une maison de Champagne Sparnacienne. Les qualités des différents Champagnes proposés sont élaborées dans la plus pure tradition familiale, nées d'un subtil mélange entre savoir-faire et notre terroir d'exception. L’exploitation Charles Hubert est située dans le village d’Ambonnay, en Champagne.
La passion de la culture de la vigne anime Benoit Beaufort depuis sa naissance et sa vie à l’exploitation familiale. Sixième génération d’exploitant à Ambonnay, Benoît Beaufort propose à son tour un Champagne à son image. Pour lui, la culture de la vigne est marquée du sceau de la tradition particulièrement quant à la préservation de la qualité des sols et donc des jus de raisins. Accueillir des visiteurs fait partie de l’ADN des viticulteurs de Champagne. Benoit Beaufort et son épouse cultivent cette tradition en étant à votre disposition pour un accueil au sein de l’exploitation. Nous pratiquons la lutte raisonnée pour limiter au maximum l’utilisation d’insecticides, qui sont remplacés par la confusion sexuelle contre les chenilles tordeuses de la grappe.